On fait le bilan, calmement

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31 décembre 2017

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Deux-mille-dix-sept commença à Miami, aux côtés de mon frère Axel. Deux semaines plongées dans une ambiance artistique, où l’on crée, juste pour créer. Pas pour se montrer. On crée, parce qu’on n’a pas le choix. Parce qu’on ne sait, parce qu’on ne peut, faire autrement.

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En relisant le bilan que je faisais de deux-mille-seize, je constate que deux-mille-dix-sept fût sa continuité. samo.

[/vc_column_text][vc_column_text 0= » »]Un peu à l’arrache, je suis partie au Pérou, dans l’idée de faire un rituel d’Ayahuasca. J’ai atterri à Lima, où j’ai rencontré un autre frère, Jorge. J’avais prévu de rester deux semaines, je suis restée deux mois. Je n’ai pas fait le rituel, ne le sentant plus. J’ai cependant pu être confrontée à moi-même, et ai de nouveau dû me faire confiance plus que jamais.
Je suis partie en France, dans le sud directement, pour le lancement de notre livre « Rencontre avec ma femme sauvage ». Une rencontre exceptionnelle, qui a encore révélée des aspects de ma personnalité que je ne connaissais pas. Des rencontres merveilleuses.
J’ai continué vers Marseille, pour une semaine de résidence chez Pébéo, la marque dont je suis ambassadrice. Une semaine éprouvant puisqu’au même temps où j’avais cette belle opportunité, j’étais perdue dans mon art et ce que je voulais faire, dire, transmettre.
Comment lier toutes mes passions, mes domaines. Où vivre. L’éternelle question des multi-potentiels. Des périodes de doute habituelles, mais habituellement temporaires. Celle-ci dure depuis plus d’un an, maintenant.
Je monte à Paris pour donner une interview à la radio RGB. J’y fais une belle rencontre et découverte : Mike Debrouya.
Je rencontre Léa, pour lui parler de mon rapport au corps.
Je rentre à Montréal, pour recevoir mon titre d’exploratrice en Terres Solidaires par Village Monde.
Pas de contrats, je garde espoir, mais petit à petit, c’est la descente aux enfers. Pourtant, à l’intérieur, je me sens bien.
Je rencontre Lisa Simone.
Pendant le Festival de Jazz, c’est Meryem Saci qui décide de me faire confiance cet été.
J’ai également l’honneur de rencontrer Tété, sur scène. C’est ce que le métier de photographe permet : découvrir des artistes qu’on n’aurait pas forcément été voir autrement.
C’est également un coup de coeur pour Tamara.
Puis une rencontre artistique avec Ben l’Oncle Soul.
Puis Ilam pendant le Festival Nuits d’Afrique.
Dans ces temps de galère, je m’inscris sur Nomador, où je ferai la rencontre d’une famille d’adoption.
Un aller-retour à Québec, où guidée par mon intuition, je rencontre mon ami John.
Je m’en vais ensuite vers l’Ouest. Un rêve datant de plusieurs années. Vancouver, puis Salt Spring Island.
Puis c’est le départ pour le Laos.
De retour à Montréal, c’est le feu. J’ai souvent eu envie de prendre du recul des réseaux sociaux, et c’est arrivé, par défaut. Et ça fait du bien!
C’est aussi le retour au Cypher, qui m’avait tant manqué.

Finalement, la seule certitude qui me reste, est celle de ne pas être capable de faire autre chose que de créer.

Mon égo m’a encore joué des tours.

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« Pour un artiste, la création n’est pas un travail, c’est respirer, c’est exister. » Gilbert Choquette

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