Journal d’une apprentie chamane, de Corine Sombrun

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JOURNAL D’UNE APPRENTIE CHAMAN
CORINE SOMBRUN

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11 juillet 2016

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Lorsque ma soeur d’âme, Blue, me donne ce livre, je souris. Rien que le titre me parle. Elle me connaît bien. Je commence à le lire, et je ne peux m’en détacher. Chaque fois que je dois faire une pause, c’est presque une torture. Je veux replonger dedans! Et lorsque je le termine, j’en veux encore! Alors je fais des recherches sur Corine Sombrun, cette musicienne, puis journaliste et écrivaine, chamane sans le savoir… Son parcours, ses découvertes et ses expériences sur les états de conscience modifiée, viennent apporter une aide précieuse au milieu occidental des neurosciences et de la psychiatrie.

Résumé : « Ça y est. Je pars demain pour l’Amazonie. La Sachamama, le bout de jungle de Francisco, est aussi un centre d’études des méthodes de guérison héritées des cultures indiennes et précolombiennes. Moi je veux trouver mon « son ». Je veux te retrouver. C’est tout. » Ce journal de bord d’une jeune femme, musicienne à Londres qui, sous le coup d’un deuil inconsolable, décide de suivre l’enseignement musclé d’un chamane péruvien, est un récit initiatique mêlant humour, autodérision, recherche spirituelle et connaissance de l’Autre. Au travers de ses aventures aussi drôles qu’émouvantes, Corine Sombrun nous conduit sur la piste d’un rendez-vous hors du temps qui doit l’amener à retrouver cet amour plus fort que la mort.

J’ai d’abord beaucoup aimé le style d’écriture, dans lequel je me suis pas mal identifié. Des phrases très courtes, souvent sans verbe ni sujet. Un style parlé, rythmé, léger. Qui nous donne l’impression d’être dans sa tête en direct. De l’humour et de l’autodérision face à la solitude, face à elle-même.

Son expérience en elle-même est profonde, courageuse, intense. Libérée, grâce aux plantes, de bagages émotionnels trop lourds à porter, physiquement et mentalement, l’auteur renaît à elle-même.

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« Au-delà des mots, j’ai appris à percevoir. J’ai appris qu’une certaine connaissance ne pouvait pas s’atteindre par la pensée. Qu’il fallait l’écouter avec les sens. S’y glisser par la perception.

Intuitions. Sensations. Petites touches de ce monde des esprits qui envoie des messages. Comme de tout petits ponts tendus entre lui et nous. Qui peut les traverser? Celui qui pense? Celui qui perçoit? Peut-être les deux. Il faut les unir. Les équilibrer. Les développer. Celui qui pense ET celui qui perçoit. »

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