Septembre – Octobre 2017, Mission d’exploration au Laos I

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MISSION D’EXPLORATION
AU LAOS

Première partie | Huay Xai

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septembre – octobre 2017
par Jessica Valoise

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06 septembre 2017
Aéroport de Montréal

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11:30 – C’est l’heure de partir. Un mélange d’excitation et d’appréhension, forcément. Je pars pendant la saison des pluies. Les mois de septembre et octobre sont annoncés comme pouvant être fort pluvieux. J’espère ne pas me retrouver en permanence sous la pluie. J’espère trouver mon chemin facilement, j’espère faire des rencontres incroyables, j’espère qu’il va se passer des choses folles. J’espère être à la hauteur pour Village Monde.

Le voyage est long : quatorze heures de vol jusqu’à Shanghai. Quatre heures d’escale. Quatre heures de vol jusqu’à Bangkok. Sept heures trente d’escale avec un changement d’aéroport, qui se fera en taxi plutôt qu’avec la navette de l’aéroport, pour m’assurer d’arriver à temps. Une heure trente de vol. Environ trois heures de bus et tuktuk. Toutes ces heures de vol vont me dessécher tel un raisin sec. Heureusement que le taux d’humidité Laotien proche des 80% me repulpera instantanément !

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Dans le premier vol, ma voisine me vole mon repas strictement végétarien. Je dormais. Elle n’aurait pas fait « exprès », mon nom étant tout de même inscrit dessus en évidence. Après s’être démenée pour me trouver quelque chose, une hôtesse, elle aussi vegan, m’offre le repas de l’avion qui lui était destiné – apportant elle-même le sien. Pour le reste du vol, je ferai attention à ma bouffe!

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J’AI REGARDÉ :

Lion, qui m’a fait pleurer et qui m’a donné envie de retourner en Inde. Pendant le film, je me disais que ça doit être agréable de ressentir ce sentiment d’appartenance… Sentir qu’on appartient à un lieu, une culture…

Moana, qui utilise le principe des douze étapes du héros. Je l’interprète comme une métaphore de la façon dont on peut trouver sa voie. En suivant son coeur, ces voix qui nous disent d’aller quelque part ou de faire quelque chose, sans que l’on sache pourquoi, et où là finalité immédiate est seulement d’écouter ces voix en allant ou en faisant cette chose.

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Arrivée à Shanghai, dans cet aéroport semblable à celui de Bangkok BKK, je commence à me sentir fatiguée et à avoir ces sueurs froides du manque de sommeil. Je pensais avoir une heure de vol. Il y en avait quatre, dans un avion assez inconfortable, avec plein de chinois extrêmement bruyants.

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Arrivée à Bangkok, une heure trente de douane. Au moins, ça grignote sur la nuit que j’ai à passer ici – où je dormirai assez bien d’ailleurs, allongée sur plusieurs sièges, après avoir englouti un de mes plats favori, un mango sticky rice accompagné d’une noix de coco fraîche. Je prend un taxi cinq heures plus tard pour rejoindre l’autre aéroport de Bangkok, DMK. Le chauffeur m’arnaque de 100 baths. Arrivée là, j’apprend que je dois payer pour mon bagage, 900 baths. Je n’avais pas tout lu sur la confirmation de réservation de mon billet d’avion… Les dépenses imprévues commencent.

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Arrivée à Chiang Rai, je prend directement un taxi prépayé, n’ayant pas l’énergie de négocier avec qui que ce soit. Le chauffeur, drôle et adorable, me dépose au parking des bus. Cherchant un peu plus loin celui qui m’emmènerait à la frontière, je ressens cette sensation que j’aime tant en voyage : cette milliseconde d’angoisse immédiatement remplacée par ce mélange d’excitation et d’adrénaline de se retrouver potentiellement perdue dans un lieu inconnu. Des possibilités de découvertes infinies!

Une heure plus tard, me voilà en route pour la frontière Laotienne, dans un bus où nous ne serons que quatre, dont une seule autre personne allant également à la frontière, mais l’autre plus au nord, qui ne délivre pas de visa. Le chauffeur et la contrôleuse sont drôles et ne cessent de rire ensemble. J’avais oublié cette gentillesse et cet humour Thaïlandais.

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08 septembre 2017
Huay Xai (ຫ້ວຍຊາຍ), Région de Bokeo

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Après avoir passé l’immigration Thaïlandaise, puis l’immigration Laotienne, dont le visa m’aura coûté 30$ au lieu des 35$ que j’avais pu lire, je fais fasse à une impasse. Le tuktuk me demande 75000 kip pour rejoindre le centre-ville, pour un trajet qui ne devrait en coûter que 10000. Nous sommes hors saison, et c’est le seul tuk-tuk. Il me dit d’attendre d’autres gens pour que le prix baisse : en fait, pour que les 75000 kip soient partagés. Nous sommes hors saison… Au bout d’une heure d’attente et pas un chat à l’horizon, je cède.

Je décide de passer la première nuit chez Saibadee Guesthouse, préférant me présenter en journée chez Daauw, mon premier hébergement à évaluer, avant d’aller y passer la nuit, et n’ayant pas l’énergie pour y rester directement. J’aurai bien fait puisque ce soir, ils fêtent l’anniversaire de Zjung, une des femme de la place. Couchée à 18h, je n’aurai pas assumé.

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09 septembre 2017
Daauw Homestay, Huay Xai (ຫ້ວຍຊາຍ)

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Je quitte Saibadee pour Daauw Homestay, mon premier hébergement Village Monde, où je resterai deux nuits. Je discute assez longuement avec Zjung, une des femme de la place.

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Zjung a eu vingt-quatre ans hier. C’est son anniversaire qu’ils ont fêté. Elle est celle qui parle le mieux anglais, et donc celle avec qui je communique le plus souvent. Avec son mari, Boun Chan, ils sont en charge de l’hébergement lorsque les propriétaires, Lara et son mari sont au village, pendant la saison des pluies.

Ça fait huit ans qu’elle vit à Daauw. L’école coûtant 6000 kip par mois (environ 1$ – la salaire mensuel moyen dans un village pouvant être de 2$), Zjung n’a pas été scolarisée et a appris l’anglais ici, à Daauw Homestay – dont les revenus permettent, entre autre, de scolariser les enfants.

Zjung a quitté son village parce qu’il n’y avait pas d’opportunités de travail. À l’époque, il comptait dix-huit maisons, aujourd’hui il paraît qu’il y en a un peu plus. Elle ne sait pas, car elle n’y est pas retourné en huit ans.

Chez Daauw Homestay, la plupart des femmes sont veuves, et sont venues ici avec leurs enfants. Hors saison, il y a aussi peu de volontaires que de visiteurs, alors la journée, Zjung et les autres femmes sortent dans les rues pour promouvoir la place et y attirer du monde.

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J’aimerai visiter leur village, mais hors saison, la route n’est pas praticable et il faut compter huit heures de marche dans la boue. Autrement, c’est deux heures de voiture, mais c’est à éviter.

À la place, je partirai avec Boun Chan et les hommes de Daauw à Huay Dong Dam, un village proche duquel ils vont récolter le bambou que nous mangerons pour le lunch.

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Situé à une dizaine de kilomètres au nord de Daauw, Huay Dong Dam abrite le peuple Hmongs, originaire de la Chine méridionale, un peuple à l’histoire lourde.

Les enfants sont curieux, timides et très taquins. Une pauvreté matérielle est évidente, des problèmes de santé liés au manque d’hygiène et d’installation sanitaire se devinent.

L’accueil y est agréable. Malgré la barrière de la langue, on essaye de communiquer. Des sourires agrémentent nos « échanges », les éclats de rire viennent les ponctuer.

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Après avoir coupé le bambou, nous partons à la rivière pour le nettoyer.

Au village, et sur le chemin du retour, je ne peux pas toujours prendre de photos. Parfois parce que je préfère profiter du moment, parfois parce que c’est trop tard, parfois parce que c’est malvenu, ou encore parce mes mains sont occupées. Ça peut être frustrant, mais c’est le jeu. Alors à toutes ces images que je n’ai pas pu prendre, comme ce nuage de libellules noires et oranges que nous avons traversé, comme ces jeunes adolescents perchés sur le toit en paille d’une petite maison, et à toutes ces scènes de vie sur le bord de la route.

Une fois rentrés, c’est au tour des femmes de s’occuper du bambou en le cuisinant. Du sel, des herbes fraîches et du piment, accompagné de riz, un repas délicieusement simple préparé en un peu moins d’une heure et partagé tous ensemble pour le lunch.

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Malgré une longue nuit, je me sens encore fatiguée. J’aimerai tenir jusqu’à ce soir mais je pense craquer pour une sieste…

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10 septembre 2017
Daauw Homestay, Huay Xai (ຫ້ວຍຊາຍ)

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La sieste aura duré toute la nuit. Réveil vers 2h du matin… Ne parvenant pas à me rendormir, je vais prendre une douche… dont le tuyau se brise! L’eau coule, coule, coule… partout!!! Ça m’embête mais, pas le choix que d’aller réveiller Boun Chan… flemme de réparer le tuyau maintenant, il coupera simplement l’eau. C’est au moins ça.

En plein centre ville, il est difficile de trouver autre chose à manger que des burgers et des pizzas… En m’éloignant, je trouve enfin une petite barquette qui propose des pad thaï. Joie.

Ma dernière journée à Huay Xai sera calme et tranquille, essayant de récupérer du voyage et du décalage horaire, je réussirai à tenir jusqu’à 21h30!

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HUAY XAI (ຫ້ວຍຊາຍ), Région de Bokeo

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Huay Xai (ຫ້ວຍຊາຍ) fut surtout connu pour être la plaque tournante de l’opium pour les Américains lors de la guerre. Aujourd’hui, elle est plutôt la plaque tournante des voyageurs, passant la frontière entre la Thaïlande et le Laos, avant de rejoindre Luang Namtha ou Luang Prabang. Elle est ainsi développée pour accueillir des personnes en transit : hotels, guesthouses, restaurants dont la carte est adaptée aux occidentaux, quelques boutiques et des tours opérateurs.

La journée, la ville est morte. Elle ne semble jamais plus vivante que le matin, sous le chant des coqs accompagnés des hurlements des chiens et de la prière des moines bouddhistes faisant l’aumône.

Bien que située au bord du Mékong, celui-ci est complètement caché par les édifices, pour beaucoup abandonnés, fermés pour la saison, ou en construction. Alors, on jette un oeil furtif entre deux bâtisses afin d’apercevoir, tant bien que mal, l’artère principale du pays.

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HÉBERGEMENT ÉVALUÉ :

Daauw Homestay – http://daauwvillagelaos.com/

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Construit en hauteur et s’entourant de végétation, on a l’impression de se retrouver en pleine jungle au coeur du centre-ville. Daauw nous offre ainsi une vue imprenable sur les montagnes et le Mékong.

Initiative locale gérée et détenue par les habitants des montagnes Laotiennes, peuple HMongs, c’est une famille d’une trentaine de personnes qui nous accueille et nous invite à partager leur quotidien. Daauw finance directement l’initiative Kajsiab, qui permet l’autonomie des habitants du village, l’empowerment des femmes à travers l’entrepreneuriat, et l’éducation des enfants.

Les noms de Kajsiab et Daauw ont été donné en hommage à deux habitantes décédées. Kajsiab signifie « fleur qui fleurit », « cœur qui s’ouvre », « un amour qui jaillit soudainement ». C’est le nom d’une jeune fille décédée à l’âge de treize ans à la suite d’une infection mineure qui aurait pu être facilement guérie par l’accès aux soins de santé de base. Daauw signifie « étoile ». Il a été nommé après le décès d’un bébé de 8 mois à la suite d’une diarrhée due à une pénurie de nourriture, une mauvaise hygiène et l’un des principaux problèmes dans les villages de montagne en raison du manque d’autosuffisance : la toxicomanie.

Daauw et Kajsiab visent à améliorer la vie, la santé et le bonheur, en grande partie grâce au tourisme responsable.

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Nécessitant quelques vérifications supplémentaires, Daauw Homestay n’a pour le moment pas été labellisé par Village Monde.

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< introduction

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