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IAM

Explor-he[art]ist

Nomade dans l'âme, je voyage, lentement, partout dans le monde, des milieux les plus reculés aux milieux les plus populaires, et transmute mes émotions et pensées en œuvres visuelles, et parfois écrites. Je parle en émoticones et en codes AITA.

Suis moi ♥

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Quelques images des premières collections @khacij

Quelques images des premières collections @khacijayapparel, shootées par @sprykritic, en 2010.

« I LOVE KHACIJAY », tout simplement. Avec un coeur en dripping et aux couleurs primaires.

« J’AIME PARIS », parce que c’était là que je gravitais.

« I LOVE MUSIC », parce que la musique a été la base de presque tout dans ma vie. Ce modèle a aussi été ma première expérience de vol de design.

« YOU KNOW YOU LOVE ME. xoxo ». Qui a la ref?

Chaque t-shirt était unique, peint à la main, en édition limitée et numéroté.

C’était ben l’fun 🤗

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

2010. Dans la dernière publication, tu peux me vo

2010. Dans la dernière publication, tu peux me voir avec un appareil photo. C’est mon tout premier appareil et c’est @sprykritic qui m’a conseillé de m’y mettre. Il faisait les photos de mes collections, et sachant qu’un jour ou l’autre je partirai au Canada, il me conseille d’apprendre à shooter pour quand il ne sera plus là.

Au début, on ne va pas se mentir, ça me gonfle. Je lis quand-même le manuel qui accompagne mon Canon 500D et apprends les réglages de base, ISO-ouverture-vitesse.

Et puis je pars à Amsterdam. Et là, j’attrape la piqure. @dikythekid m’apprend les bases du cadrage, la règle des tiers. Et on s’est amusé avec mon MunnyJay!

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

On est toujours en décembre 2010, au salon Take M

On est toujours en décembre 2010, au salon Take Me Out. Deux jours où j’exposerai mes créations, deux jours où je m’exposerai, pour la première fois.

Quelques minutes après avoir fini d’installer mon stand, le créateur voisin vient voir mes créations : il regarde chaque t-shirt un par un (une cinquantaine), et prend vraiment le temps de les détailler. Lorsqu’il fini, je lui demande s’il aime. D’un sourire narquois et sur un ton dédaigneux, il me répond « Hum, c’est amusant ».

J’entre dans le milieu parisien.

Les deux journées passent vite, mes amis portent mes t-shirts, je rencontre beaucoup de monde, les gens s’arrêtent à mon stand, je fais des ventes, des contacts, c’est vertigineux, et c’est toujours l’éclat’!

PS: mon voisin n’aura absolument rien vendu.
PS2: vous pouvez aussi voir mes débuts en montage vidéo, super pro 😅

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

Décembre 2010. Un an de @khacijayapparel. Quoi de

Décembre 2010. Un an de @khacijayapparel. Quoi de mieux pour fêter ça que de participer à mon premier évènement ? Et pas des moindre puisque ça sera la cinquième édition du salon Take Me Out, au Trianon, à Paris. Deux jours où j’exposerai mes créations, deux jours où je m’exposerai, pour la première fois.

Quelques minutes après avoir fini d’installer mon stand, le créateur voisin vient voir mes créations : il regarde chaque t-shirt un par un (une cinquantaine), et prend vraiment le temps de les détailler. Lorsqu’il fini, je lui demande s’il aime. D’un sourire narquois et sur un ton dédaigneux, il me répond « Hum, c’est amusant ».

J’entre dans le milieu parisien.

Les deux journées passent vite, mes amis portent mes t-shirts, je rencontre beaucoup de monde, les gens s’arrêtent à mon stand, je fais des ventes, des contacts, c’est vertigineux, et c’est toujours l’éclat’!

PS: mon voisin n’aura absolument rien vendu.
PS2: vous pouvez aussi voir mes débuts en montage vidéo, super pro 😅

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

C’est comme ça que tout a commencé. C’est co

C’est comme ça que tout a commencé. C’est comme ça que je terminais mon dernier post.

Ici, je vous montre les débuts de la création de mon image de marque. Mon premier nom d’artiste a été KhaciJay, de 2009 à 2016.

Jessica, à l’envers.

Les premières collections. Le premier shooting photo avec @sheherazadedkh. L’assistance précieuse de @lowshinypurple et sa fashion police. L’aide indispensable de @sprykritic, encore aujourd’hui, pour les visuels, le graphisme, mes sites internet, toujours en avance sur les nouveaux réseaux sociaux, etc., etc… (j’aurai fait tellement n’imp sans toi!).

Bref, j’avais 20 ans, et c’était l’éclat’!

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

2009. Quand tout a commencé. Juin. J’obtiens m

2009. Quand tout a commencé.

Juin. J’obtiens ma licence de psychologie. L’objectif: devenir docteure en sciences humaines.

Mais à 20 ans, je me sens jeune. Je décide de faire une pause d’un an. Pour vivre. Grandir.

La danse que je pratiquais depuis 10 ans prend toute la place. J’en profite, parce que quand je serai chercheuse dans 6 ans, je voudrai danser sur scène derrière des chanteurs les soirs et les week-end.

Mais en octobre, je me blesse gravement au dos. Danse interdite pendant un an, minimum.

Alors, la peinture que je pratiquais depuis toujours vient tout remplacer. Combler les vides.

Je peins sur mes vêtements depuis que j’ai 5 ans. Et là, 15 ans plus tard, des amis commencent à me demander de personnaliser les leurs. Puis très rapidement les amis de mes amis me passent des commandes. Et encore plus rapidement, des gens que je ne connais pas.

Et c’est comme ça que je réalise que l’art peut être un métier. En tout cas, qu’il m’est accessible. Je m’installe officiellement en décembre 2009, crée mon site internet, mes pages sur les réseaux sociaux, etc, etc.

Bref, c’est comme ça que tout a commencé.

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

15 avril 2021. Il y a 8 ans jour pour jour, je pr

15 avril 2021.

Il y a 8 ans jour pour jour, je prenais l’avion et traversais un océan pour m’installer dans le pays dont j’étais tombée amoureuse 8 ans auparavant. À quelques heures près, aujourd’hui, j’arrivais, seule, avec dans mes trois valises toute ma timidité, ma volonté, mon manque d’assurance. Et 15 paires de chaussures.

Je ne connaissais personne, et encore moins moi-même.
Je ne m’attendais à rien, et à tout.
La seule chose que je savais, c’est que j’avais eu un coup de coeur pour cette ville, que je voulais y vivre, et que chaque rue me paraissait connue. Jamais je ne me perdais, chaque jour, je savais où j’allais, sans pouvoir l’expliquer. Mon premier appartement a été celui dont j’avais rêvé une nuit quelques mois avant mon départ. J’étais guidée. J’étais accompagnée.
Et face à cet inconnu si familier, un univers de liberté s’offrait à moi. Je pouvais enfin être moi-même.

Le troisième jour de mon arrivée, je suis allée au restaurant, et un biscuit de fortune m’a dit : « You will be a great success in business and society ». Quel accueil!

Pour la première fois ma volonté et ma détermination étaient bien accueillies, récompensées. J’entrais dans une société dont les codes me correspondaient, dont les valeurs s’alignaient aux miennes. Où ma multi-potentialité était recherchée. Mon introversion acceptée. Tout me paraissait simple et naturel ici.

J’en ai même écrit une déclaration d’amour en 2016 : journal.jessicavaloise.com/montreal-je-taime. Aujourd’hui Canadienne. Je l’aime toujours autant. Si ce n’est plus.

On dit que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs et que tout vient de l’intérieur. Montréal m’a appris cette nuance. J’y ai trouvé une herbe plus verte, en tout cas, plus à mon goût, et cet extérieur m’a permis de m’épanouir. Un peu comme un oiseau qui aurait vécu toute sa vie dans l’eau et qu’on remettait dans le ciel afin qu’il puisse enfin voguer dans les airs. Et respirer.

1/2 (suite dans les commentaires)

✨ TIME TO SHINE ✨ UNAPOLOGETICALLY ✨

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Quelques images des premières collections @khacij

Quelques images des premières collections @khacijayapparel, shootées par @sprykritic, en 2010.

« I LOVE KHACIJAY », tout simplement. Avec un coeur en dripping et aux couleurs primaires.

« J’AIME PARIS », parce que c’était là que je gravitais.

« I LOVE MUSIC », parce que la musique a été la base de presque tout dans ma vie. Ce modèle a aussi été ma première expérience de vol de design.

« YOU KNOW YOU LOVE ME. xoxo ». Qui a la ref?

Chaque t-shirt était unique, peint à la main, en édition limitée et numéroté.

C’était ben l’fun 🤗

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

2010. Dans la dernière publication, tu peux me vo

2010. Dans la dernière publication, tu peux me voir avec un appareil photo. C’est mon tout premier appareil et c’est @sprykritic qui m’a conseillé de m’y mettre. Il faisait les photos de mes collections, et sachant qu’un jour ou l’autre je partirai au Canada, il me conseille d’apprendre à shooter pour quand il ne sera plus là.

Au début, on ne va pas se mentir, ça me gonfle. Je lis quand-même le manuel qui accompagne mon Canon 500D et apprends les réglages de base, ISO-ouverture-vitesse.

Et puis je pars à Amsterdam. Et là, j’attrape la piqure. @dikythekid m’apprend les bases du cadrage, la règle des tiers. Et on s’est amusé avec mon MunnyJay!

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

On est toujours en décembre 2010, au salon Take M

On est toujours en décembre 2010, au salon Take Me Out. Deux jours où j’exposerai mes créations, deux jours où je m’exposerai, pour la première fois.

Quelques minutes après avoir fini d’installer mon stand, le créateur voisin vient voir mes créations : il regarde chaque t-shirt un par un (une cinquantaine), et prend vraiment le temps de les détailler. Lorsqu’il fini, je lui demande s’il aime. D’un sourire narquois et sur un ton dédaigneux, il me répond « Hum, c’est amusant ».

J’entre dans le milieu parisien.

Les deux journées passent vite, mes amis portent mes t-shirts, je rencontre beaucoup de monde, les gens s’arrêtent à mon stand, je fais des ventes, des contacts, c’est vertigineux, et c’est toujours l’éclat’!

PS: mon voisin n’aura absolument rien vendu.
PS2: vous pouvez aussi voir mes débuts en montage vidéo, super pro 😅

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

Décembre 2010. Un an de @khacijayapparel. Quoi de

Décembre 2010. Un an de @khacijayapparel. Quoi de mieux pour fêter ça que de participer à mon premier évènement ? Et pas des moindre puisque ça sera la cinquième édition du salon Take Me Out, au Trianon, à Paris. Deux jours où j’exposerai mes créations, deux jours où je m’exposerai, pour la première fois.

Quelques minutes après avoir fini d’installer mon stand, le créateur voisin vient voir mes créations : il regarde chaque t-shirt un par un (une cinquantaine), et prend vraiment le temps de les détailler. Lorsqu’il fini, je lui demande s’il aime. D’un sourire narquois et sur un ton dédaigneux, il me répond « Hum, c’est amusant ».

J’entre dans le milieu parisien.

Les deux journées passent vite, mes amis portent mes t-shirts, je rencontre beaucoup de monde, les gens s’arrêtent à mon stand, je fais des ventes, des contacts, c’est vertigineux, et c’est toujours l’éclat’!

PS: mon voisin n’aura absolument rien vendu.
PS2: vous pouvez aussi voir mes débuts en montage vidéo, super pro 😅

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

C’est comme ça que tout a commencé. C’est co

C’est comme ça que tout a commencé. C’est comme ça que je terminais mon dernier post.

Ici, je vous montre les débuts de la création de mon image de marque. Mon premier nom d’artiste a été KhaciJay, de 2009 à 2016.

Jessica, à l’envers.

Les premières collections. Le premier shooting photo avec @sheherazadedkh. L’assistance précieuse de @lowshinypurple et sa fashion police. L’aide indispensable de @sprykritic, encore aujourd’hui, pour les visuels, le graphisme, mes sites internet, toujours en avance sur les nouveaux réseaux sociaux, etc., etc… (j’aurai fait tellement n’imp sans toi!).

Bref, j’avais 20 ans, et c’était l’éclat’!

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019. Vous allez donc voir pendant les prochaines semaines, voir prochains mois, un retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

2009. Quand tout a commencé. Juin. J’obtiens m

2009. Quand tout a commencé.

Juin. J’obtiens ma licence de psychologie. L’objectif: devenir docteure en sciences humaines.

Mais à 20 ans, je me sens jeune. Je décide de faire une pause d’un an. Pour vivre. Grandir.

La danse que je pratiquais depuis 10 ans prend toute la place. J’en profite, parce que quand je serai chercheuse dans 6 ans, je voudrai danser sur scène derrière des chanteurs les soirs et les week-end.

Mais en octobre, je me blesse gravement au dos. Danse interdite pendant un an, minimum.

Alors, la peinture que je pratiquais depuis toujours vient tout remplacer. Combler les vides.

Je peins sur mes vêtements depuis que j’ai 5 ans. Et là, 15 ans plus tard, des amis commencent à me demander de personnaliser les leurs. Puis très rapidement les amis de mes amis me passent des commandes. Et encore plus rapidement, des gens que je ne connais pas.

Et c’est comme ça que je réalise que l’art peut être un métier. En tout cas, qu’il m’est accessible. Je m’installe officiellement en décembre 2009, crée mon site internet, mes pages sur les réseaux sociaux, etc, etc.

Bref, c’est comme ça que tout a commencé.

***

Ce post fait partie d’un travail que je souhaitais faire en 2019, le bilan de mes 10, maintenant 12, dernières années dans l’Art : retour sur ma vie artistique de 2009 à 2019.

15 avril 2021. Il y a 8 ans jour pour jour, je pr

15 avril 2021.

Il y a 8 ans jour pour jour, je prenais l’avion et traversais un océan pour m’installer dans le pays dont j’étais tombée amoureuse 8 ans auparavant. À quelques heures près, aujourd’hui, j’arrivais, seule, avec dans mes trois valises toute ma timidité, ma volonté, mon manque d’assurance. Et 15 paires de chaussures.

Je ne connaissais personne, et encore moins moi-même.
Je ne m’attendais à rien, et à tout.
La seule chose que je savais, c’est que j’avais eu un coup de coeur pour cette ville, que je voulais y vivre, et que chaque rue me paraissait connue. Jamais je ne me perdais, chaque jour, je savais où j’allais, sans pouvoir l’expliquer. Mon premier appartement a été celui dont j’avais rêvé une nuit quelques mois avant mon départ. J’étais guidée. J’étais accompagnée.
Et face à cet inconnu si familier, un univers de liberté s’offrait à moi. Je pouvais enfin être moi-même.

Le troisième jour de mon arrivée, je suis allée au restaurant, et un biscuit de fortune m’a dit : « You will be a great success in business and society ». Quel accueil!

Pour la première fois ma volonté et ma détermination étaient bien accueillies, récompensées. J’entrais dans une société dont les codes me correspondaient, dont les valeurs s’alignaient aux miennes. Où ma multi-potentialité était recherchée. Mon introversion acceptée. Tout me paraissait simple et naturel ici.

J’en ai même écrit une déclaration d’amour en 2016 : journal.jessicavaloise.com/montreal-je-taime. Aujourd’hui Canadienne. Je l’aime toujours autant. Si ce n’est plus.

On dit que l’herbe n’est pas plus verte ailleurs et que tout vient de l’intérieur. Montréal m’a appris cette nuance. J’y ai trouvé une herbe plus verte, en tout cas, plus à mon goût, et cet extérieur m’a permis de m’épanouir. Un peu comme un oiseau qui aurait vécu toute sa vie dans l’eau et qu’on remettait dans le ciel afin qu’il puisse enfin voguer dans les airs. Et respirer.

1/2 (suite dans les commentaires)

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